En 48 heures, le « contrat du siècle » est devenu le camouflet commercial du siècle. Le contrat de vente à l’Australie par Naval Group de 12 sous-marins pour un montant d’environ 34 milliards d’euros, conclu en 2016, a été dénoncé mercredi à 23 heures (heure française) par Scott Morrison, le Premier ministre australien, depuis… la Maison Blanche. Car justement, l’Australie a désormais choisi de faire affaire avec les États-Unis et la Grande-Bretagne. « La décision que nous avons prise de ne pas continuer avec les sous-marins de classe Attack et de prendre un autre chemin n’est pas un changement d’avis, c’est un changement de besoin », a déclaré M. Morrison.
La raison officieuse ? « L’entrisme des Américains », glisse un haut fonctionnaire au ministère des Armées, en dénonçant « le savonnage de planche en règle » de l’administration Biden aux États-Unis, puis « le forcing » américain pour récupérer le contrat. Le nouveau contrat s’inscrira dans un vaste accord de coopération militaire entre Américains, Australiens et Britanniques, qui vise notamment à contenir l’appétit de la Chine dans la zone indo-pacifique.
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La raison officieuse ? « L’entrisme des Américains », glisse un haut fonctionnaire au ministère des Armées, en dénonçant « le savonnage de planche en règle » de l’administration Biden aux États-Unis, puis « le forcing » américain pour récupérer le contrat. Le nouveau contrat s’inscrira dans un vaste accord de coopération militaire entre Américains, Australiens et Britanniques, qui vise notamment à contenir l’appétit de la Chine dans la zone indo-pacifique.
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