Moi, j'étais d'Artagnan, j'étais Cyrano, j'étais le hussard sur le toit. » La touche personnelle était attendue, espérée par tous les militants et sympathisants de droite venus en nombre pour ce premier grand meeting de campagne, dimanche 13 février, au Zénith de Paris. Campée sur scène derrière un large pupitre qui laissait entrevoir toute sa silhouette, Valérie Pécresse, veste et pantalon noir sur fond tricolore, s'est laissée aller, le temps d'un long discours, à l'exégèse de son engagement. Ou comment être une femme en même temps qu'une mère et responsable politique. Une façon de rappeler à tous ses contempteurs qu'une candidature à l'élection présidentielle ne s'improvise pas. Mais si la candidate a cherché à inspirer une foule déjà galvanisée, l'exercice, parfois laborieux et guindé, a pu doucher les espérances d'une partie de son camp qui attendait mieux de sa championne. Suivez nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/ - Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/ - Twitter : https://twitter.com/LePoint - Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr - www.lepoint.fr
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