Alors que l'hymne national algérien invite à « demander des comptes » à la France, il me semble opportun d'analyser avec rigueur l'une des principales causes des malentendus et des polémiques : la politique linguistique avant et après la colonisation ; en renvoyant chacun à ses responsabilités. Je veux affirmer d'emblée – afin d'écarter tout soupçon de néocolonialisme – que si j'avais été ministre de l'Éducation en Algérie, à l'aube de son indépendance, j'aurais sans la moindre hésitation décidé que l'arabe deviendrait la langue de l'enseignement et de l'administration du pays. Juste revanche sur l'histoire coloniale, juste volonté d'adapter une école à la langue et à la culture de ses élèves et de ses citoyens. https://www.lepoint.fr/debats/pourquoi-l-algerie-a-fait-une-erreur-en-remplacant-le-francais-par-la-langue-de-dieu-19-06-2023-2525106_2.php Retrouvez-nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/ - Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/ - Twitter : https://twitter.com/LePoint - Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr - Tik Tok : https://www.tiktok.com/@lepointfr - LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-point/posts/ - www.lepoint.fr
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