Le président de la République a prononcé mercredi soir dans la cour de la Sorbonne un discours en hommage à Samuel Paty, le professeur d'histoire-géographie de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) assassiné vendredi par un jeune Tchétchène, quelques jours après avoir montré en cours des caricatures de Mahomet.
« Je voudrais que ma vie et ma mort servent à quelque chose, avait il dit un jour, comme par prescience. Alors pourquoi Samuel fut il tué ? », s’est interrogé le président, avant de poursuivre : « Parce qu'il incarnait la République, qui renaît chaque jour dans les salles de classes,. Samuel Paty fut tué parce que les islamismes veulent notre futur et qu'ils savent qu'avec des héros tranquilles comme lui ils ne l'auront jamais. »
« Ce combat pour la liberté et pour la raison, dont vous êtes désormais le visage, parce que nous vous le devons », a poursuivi Emmanuel Macron, « parce que nous nous le devons, parce qu'en France, professeur, les lumières ne s'éteignent jamais », a-t-il conclu.
« Je voudrais que ma vie et ma mort servent à quelque chose, avait il dit un jour, comme par prescience. Alors pourquoi Samuel fut il tué ? », s’est interrogé le président, avant de poursuivre : « Parce qu'il incarnait la République, qui renaît chaque jour dans les salles de classes,. Samuel Paty fut tué parce que les islamismes veulent notre futur et qu'ils savent qu'avec des héros tranquilles comme lui ils ne l'auront jamais. »
« Ce combat pour la liberté et pour la raison, dont vous êtes désormais le visage, parce que nous vous le devons », a poursuivi Emmanuel Macron, « parce que nous nous le devons, parce qu'en France, professeur, les lumières ne s'éteignent jamais », a-t-il conclu.
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