Face au risque de tarissement des exportations de gaz russe vers l'Europe – 40 % de l'approvisionnent européen – la directrice générale d'Engie a révélé, le 6 mars, que son groupe négocie des volumes additionnels avec la Norvège, les Pays-Bas, les États-Unis et l'Algérie. En moins d'une semaine, le ministre des Affaires étrangères italien, Luigi Di Maio, et le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, ont sollicité Alger pour un éventuel complément aux importations qui arrivent déjà par gazoduc, à hauteur de 28 % pour l'Italie et de 29 % pour l'Espagne. Dixième producteur mondial de gaz, onzième réserve mondiale (50 ans de production à venir, selon des estimations) et troisième fournisseur de gaz à l'Europe (11 %), l'Algérie pourrait, sur le papier, tirer profit de la crise énergétique. https://www.lepoint.fr/afrique/gaz-algerien-vers-l-europe-plus-complique-qu-il-n-y-parait-09-03-2022-2467482_3826.php Suivez nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/ - Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/ - Twitter : https://twitter.com/LePoint - Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr - www.lepoint.fr
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