«Il n'y a personne pour dégager les corps ou les survivants piégés sous les décombres»: des habitants d'Antakya, ville du sud de la Turquie ravagée par le puissant séisme, expriment leur colère face au manque de soutien de l'organisme public turc de gestion de catastrophes (AFAD) alors que les recherches se poursuivent. Sur place, une équipe de secouristes français de l’ONG «RAPID», spécialisée dans l'intervention après les séismes, passe au peigne fin un immeuble à moitié affaissé dans l'espoir de trouver des miraculés. «Les secouristes français ont fait immédiatement ce que l'équipe de l'AFAD aurait dû faire», explique une habitante.
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