Des échauffourées entre policiers israéliens et Palestiniens ont éclaté vendredi 7 mai, dans un contexte de regain des tensions ces derniers jours à Jérusalem-Est, provoquant l’inquiétude de la communauté internationale.
Au moins 175 Palestiniens et six policiers israéliens ont été blessés lors de violentes échauffourées à Jérusalem-Est, vendredi 7 mai. Les heurts ont éclaté dans la mosquée d’al-Aqsa, dans laquelle des milliers de fidèles s’étaient réunis pour la dernière grande prière du vendredi, avant la fin du ramadan. Selon la police israélienne, des “centaines d'émeutiers ont lancé des pierres, des bouteilles et d'autres objets en direction des officiers qui ont riposté". La police anti-émeute a elle fait usage de grenades assourdissantes et a tiré sur des manifestants avec des balles en caoutchouc.
Des violences ont également éclaté à Cheik Jarrah, quartier voisin de la mosquée, où des manifestations quotidiennes sont organisées pour protester contre la possible éviction de familles palestiniennes au profit de colons israéliens.
Ces affrontements, parmi les plus violents de ces dernières années, se déroulent dans un contexte de regain des tensions dans cette partie palestinienne de Jérusalem, occupée par Israël depuis 1967.
Au moins 175 Palestiniens et six policiers israéliens ont été blessés lors de violentes échauffourées à Jérusalem-Est, vendredi 7 mai. Les heurts ont éclaté dans la mosquée d’al-Aqsa, dans laquelle des milliers de fidèles s’étaient réunis pour la dernière grande prière du vendredi, avant la fin du ramadan. Selon la police israélienne, des “centaines d'émeutiers ont lancé des pierres, des bouteilles et d'autres objets en direction des officiers qui ont riposté". La police anti-émeute a elle fait usage de grenades assourdissantes et a tiré sur des manifestants avec des balles en caoutchouc.
Des violences ont également éclaté à Cheik Jarrah, quartier voisin de la mosquée, où des manifestations quotidiennes sont organisées pour protester contre la possible éviction de familles palestiniennes au profit de colons israéliens.
Ces affrontements, parmi les plus violents de ces dernières années, se déroulent dans un contexte de regain des tensions dans cette partie palestinienne de Jérusalem, occupée par Israël depuis 1967.
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